Kenshin le vagabond

Nom : Kenshin le vagabond
Nom original : Rurouni Kenshin
Style : Shonen(Combat)
Auteur : Nobuhiro Watsuki
Editeur : Glénat
Nombres de volumes : 28 volumes (série compléte)

Synopsis : Kenshin erre de ville en ville jusqu’au jour ou il aide une jeune fille, expert de Kendo : Kaoru , car son peti dôjo souffrait d’une mauvaise réputation à cause d’une affaire de « faux battosai » Depuis, il loge chez elle. Mais des sentiments vont naître en eux. De nouveaux personnages vont apparaître comme Sanosuke ou Yahiko. Mais le passé de Kenshin va ressurgir…

Scénario : Kenshin combat son passé d’assassin le plus « connu » car il se rend compte que se n’était pas le meilleur moyen de fonder la nouvelle époque.
Le scénario de Kenshin est basé sur des faits réels et pourrait presque être considérer comme un manga historique sur certain plan. Des personnages de Kenshin on réellement exister et même Kenshin est lui même inspirer d’un personnage réel, sauf que le « réel » n’était pas un assassin. Le scénario est bien fait et tiens la route même si c’est souvent la même chose avec un méchant et Kenshin et sa bande qui « sauve » leurs amis. Mais malgré ça on reste attacher à se manga plus que sympathique.

Dessins : Les dessins sont travailler et les combats bien que un peut fouilli parfois sont quand même dans l’ensemble plutôt bien fait. Les extérieurs sont travaillés et étudier puisque l’auteur a repris les extérieurs à partir de livres anciens.

Style : C’est un style de manga classique mais comme on aime, les personnages sont marrants et charismatiques et on a envie de savoir la fin. Avec des personnages comme Yahiko ou Sanosuké, ous ne serez pas au bout de vos surprises.

Conclusion : Kenshin est un manga très connu et certains le considére comme culte. Pour ma part j’ai adorer et je ne saurais que trop vous le conseillez, au moins comme lecture.
Kenshin est un manga facile à lire et pas trop « prise de tête » mais cela ne l’empéche pas de vous en apprendre sur l’histoire du Japon et de l’ère Edo.









Sources : www.glénat.com